La réalité de l’envers du décor

Un mentor partageait récemment dans un groupe privé que deux fois, l’an passé, elle est passée près de tout plaquer, puis elle a expliqué ce qu’elle a fait pour sortir de cet état. 

Ce type d’info, ça vaut de l’or pour moi. Ça me montre aussi que ma coach walk the talk. Qu’elle ne fait pas que régurgiter de l’information sans l’avoir essayé elle-même.

C’est une chose que j’aime quand j’investis auprès d’un mentor et que j’ai décidé de reproduire dans mes propres accompagnements : être transparent sur l’envers du décor. 

Très souvent, on essaie d’être parfait parce qu’on pense que les autres sont parfaits. 

On veut de la clarté avant de lancer une nouvelle offre. 

On veut de la clarté avant de publier un post sur les médias sociaux. 

On veut de la clarté avant d’augmenter nos tarifs. 

Tout ça, c'est bien beau, mais le problème est que la clarté vient beaucoup plus souvent dans l’ACTION, dans les tests, que dans la réflexion préalable. 

Quand j’investis dans un coaching privé ou de groupe, j’aime quand la coach nous partage son propre parcours en temps réel. Car je sais pertinemment que ce que je vois sur les médias sociaux ne me donne pas TOUS les détails sur ce qui se passe vraiment derrière. 

Comment je l’applique dans mon propre accompagnement? En partageant mes propres expérimentations ET la réflexion derrière mes actions. 

Par exemple, cette semaine j’ai expliqué aux membres de la Société que j’allais lancer la troisième itération de mon offre en février. J’ai expliqué pourquoi la V1 était comme elle était. Ce qui est arrivé, ce que j’ai modifié dans la V2, et ce qui s’en vient dans la V3 dans 2-3 semaines. 

Résultat: une cliente a réalisé que par mon partage, elle se donnait maintenant le DROIT, elle aussi, de lancer quelque chose d’“imparfait” qu’elle pouvait ensuite réajuster au fil du temps, comme je l’ai fait.